Merci M. Aubry d'insister pour garder l'humanité dans nos relations de plus en plus aseptisées. Le vin est un lubrifiant social exceptionnel que vous m'avez fait découvrir en décembre 1993. Je vous lisais fidèlement dans Le Devoir depuis plus de 30 ans et je suis bien heureux de vous retrouver ici. J'ai toujours adoré votre prose et vos goûts œnologique. Merci encore.
Merci M. Aubry d'insister pour garder l'humanité dans nos relations de plus en plus aseptisées. Le vin est un lubrifiant social exceptionnel que vous m'avez fait découvrir en décembre 1993. Je vous lisais fidèlement dans Le Devoir depuis plus de 30 ans et je suis bien heureux de vous retrouver ici. J'ai toujours adoré votre prose et vos goûts œnologique. Merci encore.